La réforme sur les retraites complémentaires


Le nouveau calcul des retraites complémentaires



Les facteurs influençant le nombre de demandes de rachat de crédit


Le déficit budgétaire d'un pays a un impact direct sur le pouvoir d'achat de ses habitants.
Il a été démontré que, plus la dette publique de la France augmente, plus ses habitants ont un taux d'endettement élevé.
Ainsi, le nombre de demandes de rachat de crédit annuel est directement impacté par la santé économique du pays.
L'objectif du gouvernement est donc de diminuer la dette publique et de trouver des solutions afin d'améliorer le niveau de vie des Français.
Pour cela, il recherche des solutions afin de réaliser des économies sans que cela n'impacte négativement le pouvoir d'achat des Français.

Parmi les mesures favorables aux Français, le président François Hollande a promis une réduction d'impôt pour 2016.
Celle-ci entraînera indirectement une baisse des demandes de rachat de crédit car cette mesure diminuera l'endettement des ménages.
Cette mesure réjouit grandement les Français car les impôts ont constamment augmenté en France ces dernières années.
Parmi les mesures visant à réduire la dette publique, le gouvernement a décidé de modifier les règles de calcul des retraites supplémentaires.


Conséquences de la réforme des pensions des régimes complémentaires sur l'endettement des Français


Le 30 Octobre 2015 s'est finalisé un accord sur les retraites complémentaires.
En effet, les patrons et les syndicats sont parvenus à une entente sur le sujet après plusieurs mois de discussion.
Cette réforme des retraites aura différentes conséquences sur les salariés en 2016.
Elle a essentiellement pour objectif de réaliser une économie d'environ six milliards d'euros d'ici 2020.

La principale nouveauté est la mise en place dès 2019 d'un système de bonus et malus pour les salariés arrivant à l'âge légal de la retraite.
La loi prévoit qu'une personne qui part à la retraite à l'âge de 62 ans aura une pension complémentaire diminuée de 10 % au cours des trois premières années.
En revanche, un salarié qui partira à la retraite un an plus tard n'aura pas cette diminution.
Ainsi, pour bénéficier d'une retraite à taux plein, la personne devra travailler jusqu'à 63 ans au minimum.
Ce malus de 10% pénalisera beaucoup de retraités, d'autant plus que le montant des pensions en France est bas.
En effet, on constate que de nombreux Français sont à la recherche d'un rachat de crédit dès lors qu'ils prennent leur retraite.
Cela s'explique notamment par le fait qu'un départ à la retraite s'accompagne systématiquement d'une baisse de salaire.

Ainsi, un départ à l'âge de 62 ans serait donc synonyme d'une minoration de la retraite pour l'employé concerné.
Or, en ces temps de crise, la moindre diminution de revenu peut entraîner de sérieux ennuis financiers.
En revanche, un salarié partant à la retraite à un âge supérieur à 63 ans pourra bénéficier d'une augmentation de sa pension.
Celle-ci sera proportionnelle au nombre d'années qu'il acceptera de travailler après 63 ans.

Pour conclure, cette nouvelle réforme sur les retraites obligera les Français à travailler plus longtemps pour maintenir un niveau de vie convenable.